Archive for janvier, 2012


Voici les photos de mes deux derniers événements :

Décicaces du 21 janvier à la librairie Au pays d’Alice à Miramas, en compagnie de Cyril Carau et d’Elie Darco :

Une excellente après-midi passée en compagnie d’Alice, notre hôtesse, de Cyril Carau et d’Elie Darco. Echanges intéressants, rencontre de nouveaux lecteurs.

Café littéraire au restaurant A l’endroit à Salon de Provence le 28 janvier :

Encore un très bon moment face à un public qui pour partie avait lu une ou plusieurs de mes oeuvres. Cela me touche toujours de savoir que les gens aiment ce que j’écris.

« Combustion »

Combustion est une nouvelle parue dans le n°26 du fanzine Reflets d’ombres en décembre 2011.

Extrait :

En fait, il ne subsistait pas grand chose de la victime. Un tas de cendres, au sens propre du terme, curieusement blanches, imitant grossièrement les contours d’une silhouette humaine. On n’aurait même pu envisager une mauvaise blague si un membre n’était pas demeuré partiellement intact. Un avant-bras, le gauche, avec une montre fixée au poignet. Le plus surprenant était que les chairs étaient miraculeusement préservées, sans cloque, ni rougeur, si l’on faisait abstraction du moignon noirci, alors qu’il ne restait littéralement plus rien du corps auquel avait appartenu ce bras. Plus curieux encore, la montre fonctionnait toujours, sa trotteuse égrenant les secondes au rythme d’un tic-tac  quasi surréaliste. La pelouse, quant à elle, n’était calcinée qu’à l’endroit où reposaient les cendres.

Le Pitch : La découverte d’un cadavre calciné sur le campus de l’université laisse les enquêteurs perplexes, car si le corps est rapidement identifié comme étant celui d’un des éminents professeurs de l’établissement, il n’en reste qu’un tas de cendres, au sens littéral. Accident, suicide, ou meurtre, il revient au lieutenant Hernandez de résoudre l’énigme, épaulé par le docteur Lyu, le coroner, qui finit par émettre l’hypothèse d’un cas de combustion humaine spontanée…

Nouvelle à découvrir en commandant le fanzine, ou en lecture libre ici.

« Âme stram gram »

Poursuivons la rétrospective de mes nouvelles publiées avec « Âme stram gram », texte publié dans le numéro 10 du webzine Outremonde, et dont voici un court extrait :

L’homme aurait pu les contester [les faits], mais il y avait les preuves matérielles, tous ces jouets découverts à son domicile, un manoir ancien dans les vieux quartiers. L’enquêteur revit toutes ces poupées, abandonnées à la poussière et aux araignées sur des étagères, dans des placards, quand ce n’était pas carrément en vrac, par terre, ou dans le jardin en friche. Un curieux malaise l’avait envahi à la vue de ce qu’il avait, malgré lui, comparé à un sinistre charnier. Toutes ces menues silhouettes enchevêtrées… brrrr ! Cela lui avait donné froid dans le dos.

À présent, il lui semblait faire face à un inquiétant croquemitaine, une espèce de dingue de la pire espèce.

Le ptich : un vieil homme est arrêté par la police pour une série de vols de poupées, ours en peluche, et autres doudous anciens. Il s’avère rapidement que le mobile de ces larcins n’est pas l’argent. Pourquoi donc agit-il ainsi, et quel sort réserve-t-il à ces vieux jouets entre les murs de son sinistre atelier ?

Une nouvelle sur le thème de l’enfance et du temps qui nous échappe, à découvrir gratuitement en téléchargeant le webzine ici.

« Bois hurlants »

Pour démarrer une petite rétrospective de mes nouvelles publiées, commençons par ceci :

Alors comme ça, petit, tu veux que je te raconte l’histoire des Bois Hurlants ? C’est ça, hein ?

Et qu’est-ce qui me dit que tu n’es pas comme tous les autres, tous ces types qui n’ont pas d’autre envie que de se payer ma tête ? Qui pensent que je raconte des salades et que le soleil m’a tapé sur le ciboulot ?

Ainsi débute « Bois Hurlants », nouvelle publiée en novembre 2011 dans l’anthologie Malpertuis III aux éditions Malpertuis.

Le pitch : Un vieillard reçoit la visite d’un jeune gars intéressé par une histoire qu’il a vécu enfant, durant la seconde guerre mondiale : Placé dans un orphelinat de la campagne Marseillaise après la mort de son grand-père, il fait la connaissance d’une gamine qui surgit mystérieusement des bois. Mais qui est cette Sylvia qui ne parle pas notre langue et qui entretient d’étranges rapports avec la végétations ?

A découvrir dans Malpertuis III :


- ISBN : 978-2-917035-20-7
- 15,6 x 23,4 cm. 350 pages. 16 €.
- Parution : novembre 2011.

Plus d’informations sur le site des editions Malpertuis

 

Retrouvez-moi samedi 21 janvier, de 14h30 à 17h30 à la librairie « Au pays d’Alice » 1 bis rue Simian Jauffret à Miramas, en compagnie de Cyril Carau et d’Elie Darco !

Voici en exclu l’illustration de couverture de l’anthologie « Histoires d’amour » à paraitre d’ici quelques semaines aux Editions Sombres Rets, et qui contiendra une de mes nouvelles intitulée « Folles de moi ».